L’intelligence artificielle pour les nuls: une équation simple

????Le risque intelligence artificielle. (IA)


Le risque de l’IA est simplifiable en un quotient mathématique R, compréhensible et toujours réductible : la théorie des 4V.
????V= volume des données
????V= vitesse des processeurs
????V= volonté politique
????V=volonté citoyenne -souveraineté.

Très facile à mémoriser.
Son but: le rendre accessible, le dédiaboliser, le maîtriser au plan individuel.
Ce risque fait partie de nos vies et partie intégrante désormais de l’éducation .
Sa réduction en un quotient mathématique élémentaire permet enfin d’en paramétrer commodément notre influence, au plan individuel et collectif.

????Parlons simple.

????Définition:
L’intelligence artificielle aujourd’hui, et pour encore longtemps, est une modeste masse colossale d’informations, stockée au ciel ou en enfer, c’est selon, et une vitesse de traitement supersonique (l’hyper vitesse), par algorithmes itératifs (des boucles de calculs, de comparaisons, de tris).
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (Lavoisier) .
L’intelligence artificielle est une matière première strictement humaine, en aucun cas de source divine, même si d’aucun tente parfois de nous en cacher la source, voire de la mystifier.

Au numérateur de l’équation : on trouve deux masses sur lesquelles à la fois le politique, et dans son sillage le citoyen, ont peu de ressort.
Le levier de la technologie est exclusivement entre les mains et des milliardaires et des financiers, (les fonds de pension).

????Au dénominateur : par contre, y apparaît immédiatement le formidable braquet (couple plateau-pignon au sens cycliste du terme) que constitue l’alliance du pouvoir (volonté politique) avec la souveraineté citoyenne, et faire ainsi diminuer le risque (R).

????Explication
〰️Primo la capacité des politiques à poser l’imprimatur des choix de société, à travers lois et règlements, bref assez simplement la démocratie, y compris européenne.

〰️Deusio, de la volonté du citoyen de s’approprier en l’état l’outil, de s’en accommoder, ou plutôt d’en modifier ou l’âme ou les contours : appelons-le la souveraineté individuelle, l’esprit critique, le contrôle de sa propre vie, comme le choix de sa voiture, sa villa ou son appartement, ses vacances à la mer, à la montagne ou à la campagne.
Ces deux leviers sont immenses, voire illimités: ils constituent l’essence même de la démocratie. Au-delà de cela, elle disparaît.

????Syntaxe (vocabulaire)
L’algorithme renferme une logique, traduite dans un vocabulaire, le code. (Comme une phrase avec des mots).
Il traduit une pensée rationnelle, avec un but et une fin; par conséquent s’inscrit dans un séquencement d’opérations, sa logique.

L’algorithme réalise des opérations dans l’ordre; il ne pense pas; il tire des conséquences et agit: additionner, soustraire, trier, mettre dans un certain ordre, comparer, passer au crible des données, répondre à des conditions, (si, oui ou non), sont quelques-unes de ses fonctions.
Il peut se tromper (bug), faire des erreurs, vieillir. Il faut le corriger, le mettre à jour, le rafraîchir.
Il est abscons essentiellement dans un souci de brièveté, de concision. Il reste à ce jour, un outil de spécialiste.